La Commission Nationale des Droits Humains (CNDH) accuse la Direction Générale de Migration de confisquer illégalement les biens de migrants, indépendamment de leur nationalité. Son président, Manuel María Mercedes, affirme que la Constitution dominicaine garantit le droit de propriété sans exiger de statut légal. Il souligne que ces pratiques placent l’État dans une position délicate sur la scène internationale.
La CNDH prépare un recours en justice pour exiger la restitution des biens ou leur transfert à une personne désignée par le migrant. Elle appelle également la population à ne pas participer aux ventes aux enchères de ces biens, qui pourraient être entachées d’irrégularités juridiques.
Avec Listin Diario
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