Pour la seule journée du mardi 19 novembre, ce ne sont pas moins de 45 présumés bandits qui ont été tués par les forces de l’ordre ou qui ont subi la justice populaire, connue sous le nom de « Bwa Kale », soutient le militant des droits humains Pierre Espérance.
Pierre Espérance fait remarquer que la plupart des chefs de gangs restent confinés dans leurs fiefs et ce sont les « petits soldats » qui sont victimes de la vengeance populaire.
Aussi, il demande à ces « soldats » de se rebeller et de livrer les chefs de gangs aux forces de l’ordre.
Il plaide en faveur de la poursuite du mariage entre la police et la population pour mettre les bandits hors d’état de nuire.
La Rédaction