Le 12 Septembre 2025. La Première ministre de la Barbade, Mia Mottley, a affirmé qu’elle était prête à voir son visa américain révoqué si cela devenait le prix à payer pour défendre le programme de brigades médicales cubaines, régulièrement critiqué par Washington.
Lors d’une intervention, elle a exhorté les pays membres de la Caricom à être capables d’expliquer « ce que les Cubains ont pu faire pour nous », rejetant les accusations américaines de « travail forcé » ou de « trafic humain » visant ces missions.
Mme Mottley a rappelé que, pendant la pandémie de COVID-19, la Barbade n’aurait pas pu s’en sortir sans l’aide des médecins et infirmières cubaines, dont le rôle a été jugé crucial par son gouvernement.
Les accusations de « travail forcé » ou « trafic humain » à l’encontre des brigades médicales cubaines sont contestées par plusieurs dirigeants caribéens, y compris Mottley. Ils affirment qu’il y a transparence, paiement équivalent, avantages, etc. Toutefois, les États-Unis maintiennent des inquiétudes officielles et ont mis en place des restrictions de visa sur certains individus associés à ces programmes.
La rédaction
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