Insertion demandée
Communiqué du Secrétariat de l’ancien Premier Ministre Me Jean Henry Céant
Objet : Publication de l’arrêt de la Cour Administrative d’Appel de Nantes-République Française
Le Secrétariat de l’ancien Premier Ministre Jean Henry Céant prend plaisir à publier l’intégralité de l’Arrêt de la Cour Administrative d’Appel de Nantes.
Rendue publique en audience du 20 juin 2025, la décision de la Cour Administrative d’Appel de Nantes annule celle du 13 décembre 2022, par laquelle l’ambassadeur de France en Haïti de l’époque, Monsieur Fabrice Mauriès, avait abrogé, sans fondement, le visa Schengen de court séjour délivré le 18 janvier 2022 à Me Jean Henry Céant, pour une durée de cinq ans.
Cette abrogation, sans cause réelle ni sérieuse, s’inscrivait dans un contexte tendu, consécutif à des sanctions prises arbitrairement par le Canada à l’encontre de plusieurs personnalités politiques haïtiennes. Dans ce cadre, l’ambassadeur avait allégué des « menaces pour l’ordre public et la sécurité intérieure » de l’espace Schengen, sans preuves tangibles, ni procédure contradictoire, ni respect des droits fondamentaux.
Le rejet de ces motifs par la Cour Administrative d’Appel de Nantes constitue une victoire pour le droit, la vérité et la justice. Il communique une vérité connue et partagée par les citoyennes et citoyens d’Haïti, toutes et tous convaincus des valeurs d’honnêteté, de justice et de solidarité attachées au parcours de l’homme politique et ancien Premier ministre, Me Jean Henry Céant.
Homme de loi, rassembleur, doublé d’un homme politique de devoir, l’imposture politique privilégiant les intérêts privés au détriment des intérêts du peuple lui est étrangère.
L’homme d’État qu’est Me Céant n’a jamais cessé de défendre les valeurs de justice, de dialogue, de solidarité et d’inclusion. À mille lieues des basses manœuvres politiciennes ou des arrangements privés, il s’est constamment placé du côté du peuple, du droit et de la démocratie pluraliste.
Le Secrétariat de l’ancien Premier Ministre tient à souligner que cette décision s’inscrit pleinement dans le combat de Me Céant pour un État de droit, un dialogue national inclusif, et une société haïtienne fondée sur l’équité, la justice sociale et la paix civile.
« Tout moun ladan l », ne cesse-t-il de proclamer.
Il n’est pas d’autre alternative à la réussite de la démocratie en Haïti. Il n’est pas d’autre arme pour juguler le lourd déficit de dialogue et d’entente, hérité d’un passé colonial et esclavagiste, qui pèse encore sur nos démarches de société.
L’Arrêt de Nantes rencontre les chemins du combat de Me Jean Henry Céant pour l’intégration, le rejet de la violence, la quête du dialogue.
Tout moun se moun.
Dans une démocratie de droit et de devoir, où les liens sociaux se raffermissent, l’économie, en progrès, engage un avenir à la dimension de la condition humaine.
Là est le sens de l’engagement de Me Jean Henry Céant.
Suit la teneur de l’arrêt de la Cour d’appel de Nantes, publié dans son intégralité.
Pour les autres et pour Haïti !
Port-au-Prince, le 1er juillet 2025
Pour le Secrétariat
NE VARIETUR
Piècès Jointes : Reproduction complète et exacte de l’Arrêt de la Cour Administrative d’Appel de Nantes N° 24NT01844.